Attention, le moment est historique.
Sans plaisanter, ce n'est pas si souvent que sur ce blog, on a l'occasion de parler de la Bible. Googlerie de compétition, dont on ne peut qu'espérer qu'elle en amènera d'autres tant le jeu du commentaire m'a plu.
Allez, Monseigneur, c'est une blagounette d'un ami à vous, n'est-ce pas ?
Là ma fille, je plaide non coupable. Je serai juste responsable si un fétichiste stendhalien tombait (et il va se faire mal) sur votre billet précédent. ;-).
RépondreSupprimerInterprétation divergente de la vôtre : Esaïe était tout petit ou très timide et ne regardait ou ne pouvait voir que les pieds de ses messagers.
plus sérieusement, j'ai un petit doute sur la traduction en Français du verset. Faudrait voir si en hébreux "pieds" et "pas" n'auraient pas la même racine avec une différence de vocalisation qui entrainerait des confusions. C'est assez fréquent dans les langues sémitiques mais là je ne maîtrise plus très bien.
Voilà, ma fille, ai-je bien attrapé la perche que vous m'avez fort élégamment tendue ? :-)
Moi, ce que ça m'inspire, c'est qu'ils sont peut-être beaux, mais qu'ils doivent pas sentir la rose, les pieds en question, à force d'arpenter la montagne.
RépondreSupprimerJe sais, c'est idiot...
Mais non Maître, on voit que vous faites des efforts méritoires. Mais Marie nous a écrit que votre muse a pris ses ARTT et nous compatissons en attendant des jours meilleurs ;-)
RépondreSupprimerEntre les (mauvaises) excuses de type panne masculine et les week-ends piscine, je les sens encore loin, ces jours meilleurs ...
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