Oph au pays des amères veilles

Quand on voit ses premiers textes publiés, on a l'impression de pousser la porte d'un monde magique.
Et puis on se rend compte que l'affaire est un peu plus compliquée que ça. Plus on en voit, plus on se demande où diable on est tombé.


Bref, j'ai adhéré à un syndicat d'auteurs.
Parce que zut.

Commentaires

  1. Quels sont les avantages ?
    (Et le nom, tant qu'à faire. ,-))

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    Réponses
    1. C'est le SELF (Syndicat des Écrivains de Langue Française).
      L'intérêt est le même que pour n'importe quel syndicat : une structure de soutien en cas de litige ou de problème. Vu que dernièrement, les auteurs ont de plus en plus l'impression d'être le maillon faible de la chaîne du livre, dont on attend qu'ils soient déjà bien contents d'être publiés sans rien demander de plus, ça risque de ne pas être du luxe.
      Dans l'autre sens, le nombre d'adhérents d'un syndicat lui donne un poids dans les discussions.
      Il se trouve qu'à part les équivalents littéraires des majors, on n'entend pas grand-monde sur des sujets comme le virage numérique. Là, avec la réactivation du SELF, on va peut-être disposer d'un "partenaire social" qui ne se croit pas resté au vingtième siècle.

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