Ahayahayahou !


On peut dire du mal de Facebook. Moi-même, je ne m'en prive pas. Il n'en reste pas moins que beaucoup de liens se tissent grâce à lui, et que j'ai eu ces derniers temps des occasions en or (participation à des projets, invitations, dédicaces) en passant par ce site. C'est devenu un véritable outil de travail pour moi.

Accessoirement, j'y prends aussi des nouvelles du prochain album de Powerwolf.

Pour ceux qui l'ignorent, ce groupe est issu de la rencontre entre une bande de poilus allemands (plus un batteur français à l'origine, remplacé depuis) et un ténor roumain formé au Conservatoire de Bucarest.
Les loups cultivent une imagerie très "craignos-monster". Musicalement, leur style est assez old-school, pas si éloigné d'un hard-rock des années 80 qui serait entré en collision avec une bonne dose d'orgue véritable enregistré à Thionville. Du côté des paroles, les probabilités vont à 99% vers un art consommé du second degré et à 1% vers de sérieux problèmes psychiatriques. Je défie quiconque d'écouter un morceau comme Resurrection by Erection sans hurler de rire.
Bref, j'adore.

Cette semaine, sur sa page Facebook, le groupe a dévoilé le nom du nouvel album (Preachers of the Night), la tracklist, et une photo de promo que voici :


Comme d'habitude, les "frangins" Greywolf (Charles le bassiste et Matthew le guitariste, qui ne sont pas vraiment frères) ont grave la classe avec leur maquillage de loups-garous zombies. J'ai donc un peu fait ma groupie. Au commentaire indiquant ma hâte d'inclure ce nouvel album dans ma collection, j'ai ajouté la mention "hello, gorgeous Greywolves".

La réaction n'a pas traîné. Deux heures plus tard, je recevais ceci :


Bien entendu, la tronche de sa liste d'amis laisse entendre que ce compte ne lui sert qu'à faire de la diffusion et qu'il ne prendra jamais de mes nouvelles, mais zut, quoi, c'est lui qui m'invite !
J'ai sauté sur place en poussant quelques cris, et puis j'ai accepté.

Je dois avoir un truc avec les bassistes : déjà, en postant des billets consacrés à l'excellent groupe de prog Lord of Mushrooms, j'avais eu un échange très sympa avec Julien Negro.
Ou alors, ce n'est pas juste moi, et les bassistes de métal sont vraiment des gens accessibles.
(oui, je sais que ce sont des gens, c'est l'accessibilité qui m'étonne)

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