Truc à la con du vendredi : I write like, le retour !

J'avais envie de me frotter à nouveau au comparateur d'écriture en ligne I Write Like, après un premier essai l'an dernier, parce que c'est rigolo et qu'on se demande toujours quels sont ses points de comparaison.

J'ai donc dégainé Google Traduction pour transformer mes écrits récents en yaourt vaguement angloforme avec des contresens qui défrisent, et voici ce que m'a répondu I Write Like :

Je lui ai donné un chapitre de FDM et il m'a répondu :

I write like
James Joyce
I Write Like by Mémoires, journal software. Analyze your writing!
Pourquoi pas ? FDM étant le tome 2 d'un tome 1 comparé à du Dan Brown, on peut dire qu'il y a du mieux.

Je lui ai soumis un chapitre de LODA et il m'a répondu :


I write like
H. P. Lovecraft
I Write Like by Mémoires, journal software. Analyze your writing!
Moui, pourquoi pas ?

Je lui ai soumis Une roue dentée sur l'oreiller, ma dernière nouvelle publiée, et il m'a dit :

I write like
Vladimir Nabokov
I Write Like by Mémoires, journal software. Analyze your writing!

Euh...

Mais le fait est que non, je n'ai pas que des traductions automatiques sous la main.
Plus cette année.
En effet, j'ai commencé à traduire moi-même en anglais ma nouvelle nom de code Ice, ce qui signifie que, bien que forcément un peu différent, le résultat n'est pas du genre à transformer une déclaration d'amour en lettre de menaces.

Or donc, le début de Ice en vrai anglais, ça donne ceci :

I write like
Chuck Palahniuk
I Write Like by Mémoires, journal software. Analyze your writing!
Ah, tiens, je l'avais déjà eu, lui (avec Le Monde pour douze euros).

Et puis, laste beute note liste, j'ai écrit directement en grand-breton dans le texte. Un début de fanfic. Juste quelques phrases.
Cet embryon en anglais natif a généré le résultat suivant :

I write like
Ursula K. Le Guin
I Write Like by Mémoires, journal software. Analyze your writing!
Ça, j'aime bien !

Et vous, comme qui écrivez-vous ?

Commentaires

  1. Et bien apparemment cette année (enfin l'an dernier, j'en encore rien pondu cette année), j'écris comme Jonathan Swift pour "Mortellement barbant".

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