Paris au mois d'août et le désert français

Pour un informaticien, travailler au mois d'août, c'est un bon calcul dans le sens où l'on peut tranquillement se consacrer aux nouveaux développements que l'on validera juste à temps pour annoncer leur livraison aux clients ébaubis lors de la réunion du mois d'octobre. On a beaucoup moins d'appels, moins de demandes urgentes, et tout le temps du monde pour pondre de la ligne de code au kilomètre.

Mais à vrai dire, dans ce cas précis, trop de bonheur tue le bonheur.

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