La route
Le guide Michelin nous avait prévenus : les routes irlandaises sont un poème.
Sans doute du Rimbaud : rudes, déconcertantes, difficiles à suivre, parfois un peu crades, mais empreintes d'une certaine forme de beauté sauvage dont on se souvient longtemps.
Bref, bien que ce soit en cours de modification, d'assez nombreuses routes, y compris certaines empruntées par de nombreux touristes, sont étroites, tortueuses, défoncées, et il n'est pas rare d'y croiser des moutons.
Deux jours dans le Connemara
Nous ne reprenons pas tout de suite la route après la nuit passée à Galway : nous avons repéré une piscine chauffée tout indiquée pour que Poussin oublie un peu le périple de la veille. Ainsi, bien défoulé, il dort dans la voiture tandis que nous quittons la civilisation pour le mythique Connemara.
Des lacs, des moutons, des collines et des champs de cailloux.
(et aussi le magasin de musique de Roundstone où je m'offre un tin whistle)
Bizarrement, à Clifden, la seule agglomération digne de ce nom dans le coin, ça parle français à tous les coins de rue. Presque tous les touristes viennent du même pays que nous. Doit-on y voir la preuve que la renommée du Connemara n'est arrivée qu'aux oreilles des gens soumis un jour à l'écoute d'un titre de Sardou que je ne nommerai pas ici ?
En tout cas, les photos peinent à restituer l'impression que l'on a en vrai, quand on se trouve face à cette étendue déserte sur laquelle les nuages dessinent des jeux d'ombre et de lumière.
Mais le plus beau, c'est encore la Sky Road en fin d'après-midi :
Croyez-moi sur parole, en vrai, c'est grandiose.
Pour rappel, affrontez ma brute.
Nouveau ! Affrontez la brute de Nours.
Le guide Michelin nous avait prévenus : les routes irlandaises sont un poème.
Sans doute du Rimbaud : rudes, déconcertantes, difficiles à suivre, parfois un peu crades, mais empreintes d'une certaine forme de beauté sauvage dont on se souvient longtemps.
Bref, bien que ce soit en cours de modification, d'assez nombreuses routes, y compris certaines empruntées par de nombreux touristes, sont étroites, tortueuses, défoncées, et il n'est pas rare d'y croiser des moutons.
Deux jours dans le Connemara
Nous ne reprenons pas tout de suite la route après la nuit passée à Galway : nous avons repéré une piscine chauffée tout indiquée pour que Poussin oublie un peu le périple de la veille. Ainsi, bien défoulé, il dort dans la voiture tandis que nous quittons la civilisation pour le mythique Connemara.
Des lacs, des moutons, des collines et des champs de cailloux.
(et aussi le magasin de musique de Roundstone où je m'offre un tin whistle)
Bizarrement, à Clifden, la seule agglomération digne de ce nom dans le coin, ça parle français à tous les coins de rue. Presque tous les touristes viennent du même pays que nous. Doit-on y voir la preuve que la renommée du Connemara n'est arrivée qu'aux oreilles des gens soumis un jour à l'écoute d'un titre de Sardou que je ne nommerai pas ici ?
En tout cas, les photos peinent à restituer l'impression que l'on a en vrai, quand on se trouve face à cette étendue déserte sur laquelle les nuages dessinent des jeux d'ombre et de lumière.
Mais le plus beau, c'est encore la Sky Road en fin d'après-midi :
Croyez-moi sur parole, en vrai, c'est grandiose.
Pour rappel, affrontez ma brute.
Nouveau ! Affrontez la brute de Nours.
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerEt hop, juste un spam, circulez y'a rien à voir (dans la page de commentaires, en tout cas).
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