Pfiou !
Mon ventre commence à devenir lourd à porter (et j'ai pris plus de poids en deux mois qu'au cours des six mois qui ont précédé). J'essaie donc de limiter les efforts, d'autant que Nours est en clientèle jusqu'à la fin de la semaine et que ce n'est donc pas le moment d'accoucher.
J'avance aussi tant bien que mal dans mon NaNoWriMo. Je devrais tenir mon pari d'arriver à la ligne des 50000 mots le 20 novembre au plus tard, et ça, ça me fait super plaisir. Mais il se peut que l'histoire elle-même prenne quelques milliers de mots de plus avant d'être terminée. Parce qu'à force de passer mon temps dans la tête des personnages, je n'ai pas vraiment fait avancer l'intrigue, qui pêche surtout par manque d'action.
Soudain un très léger ronronnement se mit à émaner de la partie la plus large du canon. Rien d’autre n’avait changé et même Rima peinait à ressentir un semblant de vibration. Autour d’elle, l’assistance se pencha en avant. Personne ne voulait rater la moindre miette du spectacle : voir une jeune femme qui ressemblait à tout sauf à une combattante, activant après des années de sommeil une arme dont un moratoire avait interdit l’usage, n’était certes pas une chance que l’on avait souvent dans sa vie.
Puis au bout d’un laps de temps qui n’avait sans doute pas dépassé la quinzaine de secondes mais semblait avoir duré plusieurs longues minutes, un panneau minuscule bascula juste au-dessus du pouce de Rima et révéla un tout petit écran noir sur lequel clignotait un message lumineux qu’elle seule pouvait espérer lire, et encore, en approchant l’arme de ses yeux.
« Qu’est-ce que ça dit ? demanda Francelin, apparemment fasciné.
— Identification OK, » répondit Rima d’une voix blanche.
Elle avait l’impression bizarre d’être sortie de la scène, d’être hors de son corps, s’observant elle-même occupée à tenter de comprendre ce qui se passait. Les possibles implications de ce qu’elle était en train de faire ne la touchaient plus du tout.
Identification OK.
Si elle n’était toujours pas en mesure de reconnaître l’arme et encore moins de l’utiliser, l’arme, en tout cas, l’avait reconnue. Derrière la sage coupe au carré de Rima Joubel, ce mécanisme sans âme avait retrouvé Lisalinn Delmas.
Faisant fi de la répulsion que lui inspirait le système qu’elle tenait en main, elle leva l’arme bien haut au-dessus de sa tête et laissa son esprit s’enivrer des applaudissements de l’assistance.
Oh purée, je n'avais pas vu les répétitions... Bon, ben ce sera à corriger vers le mois de janvier.
Mon ventre commence à devenir lourd à porter (et j'ai pris plus de poids en deux mois qu'au cours des six mois qui ont précédé). J'essaie donc de limiter les efforts, d'autant que Nours est en clientèle jusqu'à la fin de la semaine et que ce n'est donc pas le moment d'accoucher.
J'avance aussi tant bien que mal dans mon NaNoWriMo. Je devrais tenir mon pari d'arriver à la ligne des 50000 mots le 20 novembre au plus tard, et ça, ça me fait super plaisir. Mais il se peut que l'histoire elle-même prenne quelques milliers de mots de plus avant d'être terminée. Parce qu'à force de passer mon temps dans la tête des personnages, je n'ai pas vraiment fait avancer l'intrigue, qui pêche surtout par manque d'action.
Soudain un très léger ronronnement se mit à émaner de la partie la plus large du canon. Rien d’autre n’avait changé et même Rima peinait à ressentir un semblant de vibration. Autour d’elle, l’assistance se pencha en avant. Personne ne voulait rater la moindre miette du spectacle : voir une jeune femme qui ressemblait à tout sauf à une combattante, activant après des années de sommeil une arme dont un moratoire avait interdit l’usage, n’était certes pas une chance que l’on avait souvent dans sa vie.
Puis au bout d’un laps de temps qui n’avait sans doute pas dépassé la quinzaine de secondes mais semblait avoir duré plusieurs longues minutes, un panneau minuscule bascula juste au-dessus du pouce de Rima et révéla un tout petit écran noir sur lequel clignotait un message lumineux qu’elle seule pouvait espérer lire, et encore, en approchant l’arme de ses yeux.
« Qu’est-ce que ça dit ? demanda Francelin, apparemment fasciné.
— Identification OK, » répondit Rima d’une voix blanche.
Elle avait l’impression bizarre d’être sortie de la scène, d’être hors de son corps, s’observant elle-même occupée à tenter de comprendre ce qui se passait. Les possibles implications de ce qu’elle était en train de faire ne la touchaient plus du tout.
Identification OK.
Si elle n’était toujours pas en mesure de reconnaître l’arme et encore moins de l’utiliser, l’arme, en tout cas, l’avait reconnue. Derrière la sage coupe au carré de Rima Joubel, ce mécanisme sans âme avait retrouvé Lisalinn Delmas.
Faisant fi de la répulsion que lui inspirait le système qu’elle tenait en main, elle leva l’arme bien haut au-dessus de sa tête et laissa son esprit s’enivrer des applaudissements de l’assistance.
Oh purée, je n'avais pas vu les répétitions... Bon, ben ce sera à corriger vers le mois de janvier.
Commentaires
Enregistrer un commentaire