Je n'y peux rien : chaque année, le retour du 20 décembre me fait quelque chose. C'est profondément ancré en moi bien que je n'aie aucun lien historique avec les événements en question. Un bout de moi se réveille ce jour-là avec une envie de choper le kayamb sur mon étagère et de fredonner un air de maloya. Mais il ne faut pas, ma fille dort sur le canapé.
Je souhaite donc un joyeux anniversaire au discours pompeux et paternaliste de Joseph Sarda Garriga, en rappelant au passage que 160 ans après, il y a des endroits au monde, pas si lointains, où on n'en est même pas à ce stade d'émancipation des personnes.
"... et que votre devise soit toujours Dieu, la France et le Travail."
Ça fait peur, hein...
C'est pourtant un premier pas, qui pour certains reste à faire ici et maintenant.
Bon anniversaire également à Céline C. qui se reconnaîtra si elle tombe en ces lieux.
Je souhaite donc un joyeux anniversaire au discours pompeux et paternaliste de Joseph Sarda Garriga, en rappelant au passage que 160 ans après, il y a des endroits au monde, pas si lointains, où on n'en est même pas à ce stade d'émancipation des personnes.
"... et que votre devise soit toujours Dieu, la France et le Travail."
Ça fait peur, hein...
C'est pourtant un premier pas, qui pour certains reste à faire ici et maintenant.
Bon anniversaire également à Céline C. qui se reconnaîtra si elle tombe en ces lieux.
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