Non, ce n'est pas tout nouveau. Mais ce n'est pas super ancien non plus.
Et ça meublera parfaitement en attendant que j'aie des notes plus palpitantes à écrire ou à dessiner.
Et ça meublera parfaitement en attendant que j'aie des notes plus palpitantes à écrire ou à dessiner.
Bonjour Madame,
RépondreSupprimerOserais-je suggérer qu'il manque dans votre joli dessin un serpent à pattes (si après la chute il a été condamné à ramper dans la poussière c'est qu'avant, il avait de jolies papattes)ou alors un barbu vindicatif. Mieux que Crumb, Oph ! Quod non ascendes mea filia ?
Pourquoi quand on voit un couple nu dans un paysage merveilleux et campagnard, on associe ça d'office au jardin d'Eden ?
RépondreSupprimerSi ça se trouve, c'est juste deux jeunes gens qui vont découvrir les joies du naturisme et du sexe à la campagne.
A savoir :
- le soleil, ça brule.
- l'eau c'est froid, et certaine partie de monsieur prête à rire dans le froid
- l'eau et les rochers humides, c'est traitre et glissant.
- les rochers, c'est pas confortable
- la vase non plus, le sable on s'en met partout
- l'herbe, ça gratte et y'a des bestioles. Et avec un manque de bol, y'a des trucs irritants
- Franchement, nus dans l'eau avec ce vent, c'est un truc à attraper la mort !
MageGaHell, le romantisme est mort, je l'ai achevé à coup de pelle.
Explication Mage : je m'emmêle un tantinet les pinceaux avec l' identification sur ce blog. Avec le pseudonyme épiscopal qui doit apparaître maintenant, la référence au jardin d'Éden devrait vous sembler plus logique.
RépondreSupprimerCet hiver est décidément bien long pour que votre "bucolisme" soit tellement en berne. Courage mon fils/ma fille, le printemps reviendra ;-P
Pour info, mon idée de base était loin du jardin d'Eden : juste deux personnes à la réalité discutable, dans une végétation luxuriante où l'on entend le bruit d'une cascade.
RépondreSupprimerC'est tout le problème avec les artistes vivantes : vous ne faites rien qu'à contredire les "remarquables et pertinentes interprétations" de vos œuvres proférées péremptoirement par les historiens de l'art incompétents. Sont quand même moins contrariants au XVIIe siècle :-D.
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