Puisqu'apparemment certains ont envie de lire des écrits à moi en ligne, vous avez de la chance, j'en ai mis quelques-uns à une époque. Certains sont même encore lisibles sans se mettre à saigner des yeux.
Voici des liens : le confort de lecture est bien meilleur là-bas qu'ici, dès lors que l'on dépasse le millier de signes.
Pour une poignée de neurones
Nouvelle de SF humoristique écrite en 2004. Depuis, j'ai recyclé l'univers et une bonne partie des personnages dans un roman, mais dont le ton se veut un peu moins ridicule. Bolino a donc été rebaptisé Serrano, Oïnk est devenu Daïag, Tikosh ne s'appelle plus Rocco et le nombre de blagues qui volent bas a beaucoup diminué avec le passage au grand format.
Le Contrat
Un peu la même idée que le précédent (on prend n'importe quoi, on secoue très fort et on observe ce qui se passe) mais dans un contexte de fantasy. Un an plus tard, la nouvelle a été remaniée et envoyée à un appel à textes, mais trouvant le texte pas assez drôle pour du pur burlesque, mais pas assez cohérent pour du sérieux, le comité de lecture a fini par le refuser.
J'ai aussi réutilisé le monde et son concept de "miroir de la réalité" dans deux autres nouvelles, dont une a été publiée : Au cœur de la sphère. Le roman de fantasy que j'écris actuellement se passe lui aussi dans le même univers.
Voici des liens : le confort de lecture est bien meilleur là-bas qu'ici, dès lors que l'on dépasse le millier de signes.
Pour une poignée de neurones
Nouvelle de SF humoristique écrite en 2004. Depuis, j'ai recyclé l'univers et une bonne partie des personnages dans un roman, mais dont le ton se veut un peu moins ridicule. Bolino a donc été rebaptisé Serrano, Oïnk est devenu Daïag, Tikosh ne s'appelle plus Rocco et le nombre de blagues qui volent bas a beaucoup diminué avec le passage au grand format.
Le Contrat
Un peu la même idée que le précédent (on prend n'importe quoi, on secoue très fort et on observe ce qui se passe) mais dans un contexte de fantasy. Un an plus tard, la nouvelle a été remaniée et envoyée à un appel à textes, mais trouvant le texte pas assez drôle pour du pur burlesque, mais pas assez cohérent pour du sérieux, le comité de lecture a fini par le refuser.
J'ai aussi réutilisé le monde et son concept de "miroir de la réalité" dans deux autres nouvelles, dont une a été publiée : Au cœur de la sphère. Le roman de fantasy que j'écris actuellement se passe lui aussi dans le même univers.
Je vous ai lu. Je n'ai pas voix à vos chapitres ni de compétences littéraires particulières, juste un passé de lecteur compulsif de littérature d'imagination. Donc je pense beaucoup au travers de références, c'est un travers ;-) ,je le sais.
RépondreSupprimerMais si mon avis vous semble avoir pour vous une quelconque utilité, n'hésitez pas à me contacter et je vous donnerai mon point de vue en toute franchise.
En toute franchise, justement, voici ce que je pense de ces deux textes :
RépondreSupprimerCe sont des témoignages d'une époque où j'écrivais pour me faire plaisir et où je me relisais à peine. Ils restent plaisants à lire pour s'amuser entre copains, mais restent loin du niveau nécessaire pour une publication, sauf éventuellement dans un fanzine pas très exigeant. Le seul des deux que j'ai soumis un jour à un appel à textes l'a d'ailleurs été après avoir subi des modifications. Et a été refusé.
La narration ne brille pas par sa fluidité : on saute parfois d'un moment à un autre sans rien pour indiquer les ellipses temporelles. Quant aux répétitions... Brouf !
Monseigneur, si vous souhaitez me faire profiter de vos lumières, j'en suis flattée. Je pense néanmoins que celles-ci seront plus utiles sur un texte à venir que sur une relique d'un passé, certes pas si lointain dans l'absolu, mais cinq ou six ans, au regard de l'évolution de mon écriture, c'est important malgré tout.
De toute façon, on en reparlera : je lancerai un appel à bêta-lecteurs pour la prochaine nouvelle que je réécrirai. La réécriture complète d'un texte est un exercice nouveau pour moi et j'avoue être excitée par le défi.