Il y a quelques mois, j'écrivais ceci :
À partir du moment où quelqu'un, quel que soit son âge ou son profil, gagne quelque chose à lire ce que j'ai écrit, on pourra considérer que je n'aurai pas perdu mon temps (et le lecteur non plus).
Et donc, aujourd'hui...
Bien sûr, d'autres n'aimeront pas le roman. Certains, peut-être, l'assassineront dans de jubilatoires élans de violence verbale. Mais là, tout de suite, maintenant, je m'en fous.
Je peux mourir heureuse.
En attendant, ben... je continue d'écrire. Avec un sourire béat en travers de la tronche qui me fait prier toutes les divinités du coin pour que personne n'ait l'idée saugrenue de me photographier.
Oooooh :-°
RépondreSupprimerTu en as de la chance d'avoir de si beaux compliments !
(Sauter sur les bouquins des copains commence à redevenir envisageable : j'ai déjà fini un roman cette année, et j'en suis à un quart de A Dance With Dragons. Faut voir ce que ça donnera après l'arrêt très proche des trajets en RER, maaaais j'ai bon espoir… A suivre donc, le tiens est en haut de la liste ;) )