Chaque année, une anthologie à thème paraît à l'occasion du festival imaJn'ère. Western, vampires, fin du monde...
Ce coup-ci, c'est l'eau qui se voit mise à l'honneur.
Qu’elle soit destructrice ou source de vie, force de guérison, de purification, de protection, de régénération, qu’elle représente une contrainte, un danger pour nos corps majoritairement composés d’eau ou pour notre Terre, notre chère « planète bleue », l’eau vous entraînera sans concession à travers des aventures maritimes, des mythes hydrophiles et des enquêtes détrempées. Elle vous contera de façon positive ou non, cette soif vitale qui nous tient, ce besoin sans cesse renouvelé de nous rafraîchir et de nous abreuver à la source de toute chose.
Au milieu d'une brochette de textes plus recommandables les uns que les autres se trouve ma nouvelle Pic-de-Fond, qui navigue entre capitalisme, diplomatie, mécanique des matériaux et lointaine influence de légende écossaise.
Une planète-océan, une dictature religieuse, une usine isolée, une activité interrompue à la suite de trop coûteux incidents de production. Pour les experts Maho et Nat, la question est aussi simple que le contexte est délicat : peut-on redémarrer Pic-de-Fond ?
L'anthologie paraît officiellement le 8 avril, jour de l'ouverture du salon, mais elle est en précommande au prix spécial de 15 euros (au lieu de 19).
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