Vous la connaissez déjà si vous me suivez depuis assez longtemps, mais sinon, vous la découvrirez la semaine prochaine chez votre libraire.
Empire Britannique, 1873, sur l’île Bourbon hantée par les diwas, des créatures magiques, imprévisibles et dangereuses.
Lisha Payet, retirée toute petite à sa famille, a grandi sur l’île Maurice voisine. Quatorze ans plus tard, elle revient à Bourbon pour y devenir une parfaite épouse victorienne, sous l’œil critique de la bonne société saint-pauloise.
C’est sans compter le conflit qui éclate sur l’île. Prise malgré elle dans ce soulèvement, Lisha devra choisir son camp. Famille adoptive ou liens du sang ? Obéissance ou transgression ? Ami d’enfance ou officier à la beauté troublante ? Si encore elle ne jouait que sa propre vie ! Mais l’île Bourbon, à travers sa dernière fée, lui a confié son destin et celui de toutes les créatures qui l’habitent.
Du battant des lames au sommet des montagnes, Lisha en apprendra plus qu’elle ne l’aurait souhaité sur les diwas, les hommes et sur elle-même.
Après un joli petit succès aux éditions du Chat Noir, La dernière fée de Bourbon reparaît aux éditions Lynks en semi-poche (livre un tout petit peu plus petit, un poil moins cher, mais avec le même texte, juste passé sous l’œil acéré d'une correctrice – coucou Ludmilla). Quel avantage ? Un vrai réseau de distribution qui permettra au roman de se retrouver dans bien plus de librairies.
Deux éditions, un roman.
Bref, rendez-vous jeudi 12 avril pour (re)découvrir La dernière fée de Bourbon, mon uchronie victorienne magique et tropicale !
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