Si quelqu'un a vu mon énergie, merci de me la rendre, j'en ai besoin.
Blague à part, autant mes jauges sont raplapla et toutes moches, autant le moral se porte infiniment mieux qu'en décembre, ce qui me laisse penser que j'ai une vraie vilaine tendance à la dépression saisonnière.
Toujours aucun contrat d'édition, et pas assez de force pour chercher encore à caser un de mes textes terminés. Ma force, je la garde pour Rouge Canon.
Et si j'ai encore un peu de mal à avancer, la dynamique n'est quand même pas trop mauvaise et je crois à mes chances d'arriver au bout si j'arrive à ne pas m'arrêter toutes les deux phrases pour tout détricoter parce que ce n'est pas parfait (un syndrome du débutant qui ralentit gravement toute personne tentée d'écrire, et dont je pensais m'être débarrassée à force de pratiquer le NaNoWriMo).
Tenez, regardez ! Aujourd'hui, j'ai enfin atteint un nouveau point de basculement, un de ceux où un personnage comprend que c'est trop le bordel et qu'il n'y a pas le choix, il faut faire ce truc auquel on se refusait parce qu'on avait peur des conséquences.
Des scènes d'action devraient s'ensuivre, ce sera cool. Pour vous, pas pour moi. J'écris douloureusement les scènes d'action.
Ci-dessous, voici les images que j'ai concoctées pour présenter les personnages principaux sur les réseaux sociaux :
Et puis on m'a sollicitée pour un projet collectif, dont la parution pourrait aboutir en 2021.
Wait and see.
En février, avant toute chose, je compte profiter de mes copainzécopines, et goûter enfin les bières élaborées fin 2019-début 2020.
Mais ça écrit. Ça bosse.
La vie est une saleté mais on y croit quand même !
Mais ça écrit. Ça bosse.
La vie est une saleté mais on y croit quand même !
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