La créativité ? C'est moyen.
Rouge Canon est reparti à patauger, j'ai une action nécessaire à envoyer pour que la suite se déroule, mais je n'arrive pas à la mettre en place. C'est comme s'il manquait une portion de rails entre le point où se trouvent mes personnages (à peu près tous dans les ennuis avec la police) et celui où ils doivent entamer leur dernier run. Frustrant.
Rouge Canon est reparti à patauger, j'ai une action nécessaire à envoyer pour que la suite se déroule, mais je n'arrive pas à la mettre en place. C'est comme s'il manquait une portion de rails entre le point où se trouvent mes personnages (à peu près tous dans les ennuis avec la police) et celui où ils doivent entamer leur dernier run. Frustrant.
Mais on va trouver comment goupiller le truc, laissez-moi juste tâtonner un peu, et si le roman est publié un jour comme je l'espère, vous n'aurez sous les yeux que la version qui aura marché. Pas les multiples bouts de chapitres tout nuls qui m'auront servi de brouillon.
En attendant, nous avons relancé une campagne de jeu de rôles avec le retour de notre ancien MJ, qui habite toujours en province mais est passé sur des supports numériques pour jouer à distance.
Pour les spécialistes, c'est L'Héritage du Feu (Legacy of Fire) pour Pathfinder.
Le jeu se passe entre savane et désert, dans un pays dont l'économie repose sur l'esclavage et la drogue. On a vu plus riant, mais ce n'est pas pire que l'horreur gothique de l'Ustalav où nous étions précédemment (on me dit dans l'oreillette qu'il nous reste encore une poignée de séances pour boucler La Couronne Putréfiée).
Bref, je joue Yildiz ("étoile" en turc), un·e druide niveau 1 qui voudrait taper-taper-taper mais se retrouve plus souvent qu'à son tour en train de soigner en urgence ses camarades, parce que nous faisons des jets de dés pourris, et les ennemis, beaucoup moins.
Et dès la deuxième séance, j'ai ressorti les crayons, parce que c'est fun.
Commentaires
Enregistrer un commentaire